Alors qu’il avait augmenté à trois reprises au début du mois de janvier, le prix du mazout s’est désormais stabilisé. Il est toujours fixé à 0,6349 euro le litre, pour un achat d’au moins 2.000 litres. Le prix du mazout n’avait plus été aussi élevé depuis le mois de juin 2015.
Si l’on compare le prix du mazout actuel à celui de l’an dernier, on constate que le client qui décide de passer commande aujourd’hui paiera sa livraison de mazout près de 100 euros plus cher qu’en janvier 2017, pour 2.000 litres. La différence de prix par rapport au mois dernier est toutefois moins marquée : vous ne débourserez ce lundi qu’une petite trentaine d’euros de plus.
Mazoutonline, une plateforme pour comparer le prix du mazout en ligne
Pour vous aider à mieux maîtriser votre budget, Mazoutonline vous offre la possibilité de comparer les prix du mazout pratiqués par les différents fournisseurs de votre région. Chaque marchand peut en effet choisir librement le prix auquel il désire vendre son mazout, pour autant que ce montant ne dépasse pas le prix officiel déterminé chaque jour par le SPF Economie.
Comparer le prix du mazout en ligne est très simple. Après avoir renseigné votre code postal et le nombre de litres de mazout que vous souhaitez commander, la plateforme Mazoutonline vous indique la liste des revendeurs qui desservent votre localité. Il ne vous reste ensuite plus qu’à choisir le fournisseur qui propose le tarif et les services qui vous conviennent.
Les cours pétroliers toujours élevés
Pour réaliser des économies, il est aussi intéressant de comparer le prix du mazout régulièrement et de suivre l’évolution des cours du pétrole, dont dépendent principalement les prix du mazout. De cette manière, vous serez en mesure d’anticiper le plein de votre cuve et de le réaliser au moment qui vous paraît le plus avantageux.
Ces derniers jours, après avoir dépassé les 70 dollars le baril, le Brent de la mer du Nord est légèrement redescendu, connaissant ainsi sa première baisse hebdomadaire en un mois. Les cours pétroliers se maintiennent toutefois à leurs plus hauts niveaux en deux ans, soutenus par l’accord d’encadrement de la production de l’OPEP et par une importante demande mondiale.
